Grimot de la Reynière écrit en 1798 dans Le Censeur dramatique : "C'est là qu'on voit dans toutes sa splendeur l'illustre Madame Angot qui, depuis 27 mois, se prostitue chaque soir aux amateurs sans avoir pu les rassasier de ses harangères faveurs... si pour quarante quatre sous que coûtent les meilleures places on peut être auditeur et témoin de ses hoquets, il n'y a plus de raisons pour donner six francs et six décimes à ces scandaleux baladins qui nous écorchent les oreilles avec Médée ou Télémaque et nous les déchirent tout à fait avec Tartuffe ou Le vieux célibataire et autres sottises pareilles, émanées du siècle de Louis XIV et du nôtre".